La maison des lumières

L’AUTEUR : DIDIER VAN CAUWELAERT
L’ARTISTE : DANIÈLE AKMEN

A propos de l’auteur

DIDIER VAN CAUWELAERT

Bio

  • Naissance : 29 juillet 1960, Nice
  • Écrivain
  • Distinctions : 1994, Prix Goncourt pour Un aller simple 1997, Prix du Théâtre de l’Académie Française pour l’ensemble de son oeuvre dramatique
  • Genres : roman, théâtre

 

Principales oeuvres – Main works

  • L’Astronome, 1983
  • Un aller simple, 1994
  • La vie interdite, 1997
  • L’Apparition, 2001
  • L’Évangile de Jimmy, 2004
  • La Maison des lumières, 2009

   |   EN FRANÇAIS

DIDIER VAN CAUWELAERT

Le père de Didier Van Cauwelaert est un avocat qui aurait aimé être écrivain. Après un grave accident de voiture qui l’a laissé très handicapé, il a cru qu’il ne remarcherait jamais et menace de se tuer. Didier van Cauwelaert qui a alors 7 ans, décide pour son père, de devenir le plus jeune écrivain du monde. Dès son jeune âge, il envoie ses ouvrages à des maisons d’éditions. En 1982, alors qu’il a 22 ans, Didier publie son premier roman Vingt ans et des poussières aux Éditions du Seuil. Depuis, cet auteur prolifique, a écrit plus d’une vingtaine de romans ainsi que plusieurs pièces de théâtre et spectacles musicaux. L’auteur se qualifie de « romancier de la reconstruction ». Ses ouvrages pour la plupart abordent la construction de gens en difficulté, en souffrance. Il cite pour maîtres d’écriture Marcel Aymé et Romain Gary.

LA MAISON DES LUMIÈRES

À 25 ans, Jérémie Rex, boulanger à Arcachon, est entré dans un tableau de Magritte. Là, il a retrouvé pendant 4 minutes et 30 secondes la femme de sa vie, au temps où elle l’aimait encore. Hallucination, accident cérébral, changement d’espace-temps ? Lorsqu’il reprend connaissance, les problèmes commencent pour Jérémie : comment retourner dans le tableau ? Comment échapper à la réalité pour recréer le bonheur ? De Venise au Perreux-sur-Marne, des mystères du cerveau aux secrets des chamanes, Didier van Cauwelaert nous fait partager l’irrésistible aventure d’un jeune homme ordinaire, confronté aux pièges les plus fascinants de l’amour, de l’art et de la destinée humaine.

    |   IN ENGLISH

DIDIER VAN CAUWELAERT

Didier Van Cauwelaert’s father is a lawyer who would have liked to have been a writer. After a serious car accident that left him disabled, he thought that he would never walk again and threatened to commit suicide. Didier van Cauwelaert, who was 7 at the time, decided to become the world’s youngest writer for his father. At a very young age, he sent his works to publishers. In 1982, at the age of 22, Didier published his first novel,Vingt ans et des poussières with Les Editions du Seuil. Since then, the prolific author has written more than twenty novels as well as plays and musicals. The author calls himself «the novelist of reconstruction.» Most of his works are about people who are in difficulty or suffering and their construction. His writing masters are Marcel Aymé and Romain Gary.

LA MAISON DES LUMIÈRES

At 25, Jérémie Rex, a baker in Arcachon, enters into a painting by Magritte. During 4 minutes and 30 seconds, he finds the woman of his life when she still loved him. Hallucination, cerebral accident, temporal-spatial change? Jérémie’s problems start when he regains consciousness: how can he get back in the painting? How can he escape reality to recreate happiness? From Venice to Perreux-sur-Marne, from the mysteries of the brain to shamanic secrets, Didier van Cauwelaert takes us on an ordinary young man’s irresistible adventure, as he is faced with the most fascinating traps of love, art and human destiny.

A propos de l’artiste

DANIÈLE AKMEN

   |   EN FRANÇAIS

Danièle Akmen a choisi de décorer La maison des lumières parce que Magritte est peut-être derrière l’une des fenêtres… parce que Venise en train bleu, en gondole ou dans un livre est toujours un voyage de rêve auquel il est difficile de résister. Comme tous les enfants avant d’écrire, l’artiste a gribouillé, dessiné, « peinturé » et elle n’a pas arrêté en grandissant. Sans doute son père, qui était dessinateur (et ses amis peintres), lui ont-ils laissé croire qu’elle n’avait que ça à faire. Après un court passage aux Arts Décos de Nice et Limoges, le hasard des rencontres a permis à Danièle Akmen d’ exposer « ses petites images » à Paris, de rencontrer un « marchand » qui est devenu un ami et qui lui a permis de continuer à croire que l’essentiel était de peindre.

Galerie DANIEL VARENNE
8 rue Toepffe
1206 GENEVE

    |   IN ENGLISH

Danièle Akmen chose to decorate La Maison des Lumières because Magritte might be behind one of the windows…because Venice in a blue train, a gondola or in a book is always a dream that is hard to resist. Like all children before they learn how to write, the artist scribbled, sketched, painted and has never stopped even as an adult. Her father, who was an illustrator (and his painter friends), probably let her believe that there was no better thing to do. After a short time at Arts Décos in Nice and Limoges, chance encounters allowed Danièle Akmen to expose «her little pictures» in Paris, to meet a «dealer» who became her friend and who let her continue to believe that painting was essential. That is how Danièle Akmen very simply sums up her career.

Le livre à deux places sous toutes ses coutures

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